
Face à l’objectif d’autonomie technologique voulue par le président Emmanuel Macron et la ministre du Numérique, Marina Ferrari, le contraste est frappant avec la réalité où les géants technologiques étrangers exercent un contrôle massif sur nos données et traitements critiques. L’alignement de ces entreprises avec leurs législations respectives, et leur patriotisme économique assumé créent un fossé avec les aspirations françaises à la souveraineté numérique.