Les bases NoSQL vont-elles tuer les bases relationnelles ?

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Depuis l’avènement du cloud computing, on redécouvre un principe simple : le NoSQL. Pris littéralement, on pourrait croire que NoSQL signifie « pas de SQL ». En réalité, c’est la contraction de « Not Only SQL », pas seulement / uniquement SQL. Ce qui modifie un peu la perception. En tout cas il y a une certitude : NoSQL s’oppose à la notion de données relationnelles, de moteurs relationnels, bref aux SGBDR. Est-ce une notion nouvelle ? Pas réellement, car les SGBDOO étaient souvent non relationnelles. Et on utilise toujours des fichiers plats pour traiter certaines données. Dans l’idée « pas seulement SQL », des langages de type Linq permettent de se passer purement et simplement du langage SQL pour interroger, manipuler les données stockées. Pourquoi NoSQL revient-il en force ? Plusieurs phénomènes expliquent cette situation : le cloud computing, la volumétrie toujours plus importante des données, la nécessité d’un stockage et d’une interrogation plus rapide et avec une montée en charge en adéquation.

François Tonic

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